Cette famille de joints, qui se montent serrés entre deux surfaces, peut être divisée en trois groupes :

Type A : joint sous forme de rondelle pouvant être réalisé dans tous matériaux.

Joint en fibre. Ces joints existent dans de nombreux matériaux (papier, liège, cuivre, ...)

A gauche une image d'un joint circulaire de type B et, dessous, celle du même joint coupé, montrant le noyau et l'enveloppe.

Etanchéité statique indirecte  
par rondelles et joints circulaires

Divers joints caoutchouc utilisés en robinetterie et un montage sur une tête de robinet.

   Joints composites (rondelles BS)

Ces joints se composent d'une rondelle métallique, en acier anti-corrosion et d'un anneau trapézoïdal, en élastomère, qui sont adhérisés et vulcanisés l'un sur l'autre. Il en existe différents types : avec la partie élastomère à l'intérieur ou à l'extérieur de la rondelle métallique.

Lors du serrage, la vis vient déformer la partie en élastomère de la bague BS . Cette déformation est limitée par l'appui de la tête de vis sur la partie métallique.
Cette rondelle BS permet d'assurer l'étanchéité statique des têtes de vis, boulons et ajustements de brides.

Type B : joint sous forme de rondelle métalloplastique. Elle est constituée d'un noyau en amiante, PTFE, etc. ... et d'une envellope extérieure en cuivre, aluminium, acier inoxydable...

Ce type de joint supporte des pressions allant jusqu'à 150 bars et des températures d'utilisation jusqu'à 500°C (exemple d'utilisation : bougie d'allumage).

Bougie d'allumage